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Gagner ou perdre une guerre asymétrique

Le retrait américain d’Afghanistan en 2021 et le départ français du Mali en 2022, après des années de lutte contre des insurrections djihadistes, ont réactualisé la difficulté́ des armées occidentales face aux menaces irrégulières. Régulièrement engagées depuis 1945 dans des conflits asymétriques, leurs engagements ont en effet produit des résultats souvent contrastés. Décrivant sous divers angles de vue cinq conflits récents, ce livre tente justement d’expliquer les raisons pour les­quelles une armée régulière peut gagner ou perdre une guerre asy­métrique.

Les interventions françaises en Indochine (1946-1954) et en Algérie (1954-1962), britanniques en Malaisie (1948-1960) et au Kenya (1952-1956), et américaine en Afghanistan (2001-2021), constituent en effet des études de cas particulièrement utiles pour répondre à cette ambition théorique car ils aboutissent à des résultats différents : la victoire ou la défaite des troupes régulières.

Comprendre l’issue de conflits asymétriques passés ou plus récents per­met également d’éclaircir les difficultés que rencontrent aujourd’hui les coalitions internationales pour neutraliser certaines rebellions : État Islamique, Boko Haram, AQMI, Al Shabab… Dans ce livre, l’auteur tire ainsi de l’histoire contemporaine de la contre-insurrection des leçons tac­tiques et straté­giques sur les façons de faire face au danger terroriste qui est toujours d’actualité.

Gagner ou perdre une guerre asymétrique

25,00 €Prix
  • Rodolphe Modeste

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